{ RP }   Élysion's High School 

 

♦ Nom : Steinar

 

♦ Prénom : Alekseï

 

♦ Âge : 15 ans d'apparence

 

♦ Race : Vampire Psychique

 

♦ Physique : Alekseï a de longs cheveux bruns soyeux qui font ressortir ses yeux d'un bleu tirant parfois sur le gris clairs. Elle est très grande et a la peau au teint frais. Alek a une cicatrice qui part du début de sa nuque jusqu'au milieu de son dos. Côté vestimentaire, elle a beaucoup de goût et sait s'adapter aux circonstances.

 

♦ Caractère : Alekseï a un caractère de battante. C'est une guerrière dans l'âme. Elle sait se battre et n'hésite pas à le montrer, mais elle peut aussi être douce, cela seulement avec un cercle proche à son cœur de glace. Intelligente, mais aussi très manipulatrice, elle n'a aucun remord à utiliser quelqu'un afin d'obtenir ce qu'elle désire. Son plus gros défaut est qu'elle est très possessive, jalouse, voire enfantine par moment.

 

♦ Classe : 1ère année chez les Elfes et Vampires

 

♦ Capacité : Absorption de l'énergie d’autrui, jusqu'à pouvoir contrôler la personne.

 

♦ Elle aime : La séduction, s'amuser, vivre au jour le jour.

♦ Elle n'aime pas :  L'angélisme pure et dure. Qu'on lui mente. La trahison.

 

 

 

♦ Passé :

Il était une fois …

Vous voulez connaître mon histoire ?
Bien... Vous allez devoir vous contenter du peu, les détails c'est pas mon fort !

J'ai vu le jour en Russie, dans une famille noble et de renom en 1638. Je suis née exactement dans le domaine de mes parents, un château d'époque simplement magnifique à en couper le souffle ! J'ai grandis auprès de mes parents, ainsi que ma famille très proche et soudée. Je suis issue d'une famille de Vampires Psychiques, on ne se nourrit pas comme la plupart des vampires...

Enfin bref ! À mon adolescence, du moins physique, la première grande chasse aux vampires débuta, du moins pour ce qui est de la Russie. Mes parents n'étaient pas inquiets, ils pensaient tout bonnement qu'ils étaient hors d'atteinte en vue de leurs statuts. Cela leur a coûté la vie. Ce jour là, j'ai vraiment usé de mes dons, et cela m'a permis d'être devant vous à l'heure d'aujourd'hui.

 

 

 

Ma survie a eu un prix, une belle cicatrice partant du début de ma nuque jusqu'au milieu de mon dos.. Mentalement je pouvais vivre seule, mais physiquement cela aurait posé certains problèmes et soulevé beaucoup de questions. Alors je suis allée dans une branche de ma famille, une cousine éloignée de ma mère, ils s'étaient exilé en France.

Cette femme était très douce et très gentille contrairement à son mari, à vrai dire il avait peur des soupçons qu'on pouvait leur porter. Certains vampires peuvent sortir le jour, j'avoue que mes parents ne l'avaient pas encore essayé. D'après ce que ma mère disait, c'était quand même une méthode violente pour mon âge. Un jour, l'homme qui m'a recueilli avec sa femme m'a pris avant le lever du soleil et m'a amené dans une forêt. Puis il m'a sorti et m'a dit d'attendre...
Je comprends ce que voulait dire ma mère, la douleur était insupportable. Suite à plusieurs sorties diurnes, ma peau s'est accoutumée... Cela m'a quand même valut des cicatrices de brûlures pendant quelques années. Maintenant, à part celle de mon dos, je ne pense pas en avoir d'autre. Pour le moment du moins...

 

 

Au final, je suis partie dans une autre branche de mon arbre généalogique. Non pas que je n’appréciais pas chez qui je me trouvais, mais à cause mon vieillissement physique tardif, je ne peux pas me permettre de rester trop longtemps chez des gens de ma famille sans lever des soupçons du côté des humains. Alors je suis allée chez la sœur de ma mère, elle vivait seule. Pendant la première chasse au vampire, elle a perdu son mari et ses trois enfants. Je me souviens encore de son rire mêlé à celui de ma mère, une vraie symphonie d'opéra. Mais voilà, ma tante Doushka à vraiment changé depuis.
Elle était froide aigri.. Bref je ne savais plus trop quoi faire de mes journées, elle avait peur de tout... Et au final je me suis nourrie de son psychisme jusqu'au jour où elle était devenu totalement sous mon contrôle. Prise de peur je lui ai dit de réaliser le rêve de sa vie. Elle s'est donnée la mort sous mes yeux. Son rêve, retrouver son mari et ses enfants. J'avais mal calculé ma donne, surtout que je l'avais pas vu venir celle-là.

 

 

De nouveau sur les routes, je suis allez chez un oncle du côté paternel. Il m'ouvrit sa porte, mais aussi ses bras avec un grand sourire. Ses enfants étaient beaucoup plus âgés que moi, et maintenant ils pouvaient vivre de leurs propres moyens. Cela me désola un peu, le contact avec des gens de ma génération si je puis dire, me manque. Il me conseilla une école où ses enfants étaient allés, elle était sécurisée, tranquille et surtout je pourrai y vivre avec des gens de mon age, et sans souci d'être découverte. Je lui ai demandé de me laisser le temps d'y réfléchir....

Dix ans plus tard, voyant que mon physique ne changeait pas tant que ça, je remis cette école sur le tapis et accepta la proposition de mon oncle.

Et me voilà !