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~ Elliot (Hell) Piektrovsky ~

 

â™  Nom : Piektrovsky

 

♠ Prénom : Elliot mais il se fait appeler Hell

 

♠ Âge : 16ans

 

♠ Race : Furry créé a partir d'un humain

 

♠ Physique : Grand, élancé et mince, il s'est forgé un corps souple et musclé pour survivre aux dures lois de la vie. Autrefois, ses cheveux était d'un noir soyeux et ses yeux d'un vert tendre comme la mousse des forêts. Désormais, les pointes de ses mèches rebelles sont d'un rouge écarlate et ses yeux pleins aux pupilles de chat luisent, rehaussé par un éclat doré qui vire au rouge quand il est en colère. Sa peau très pâle est couverte de tatouages sur à peu près tour son corps. Ses longs doigts fins se terminent par de terribles griffes et ses lèvres fines encadrent de véritables crocs de requins. Il a de longues oreilles et une queue touffues de poils rouges.

 

♠ Caractère : Solitaire, violent et sournois. Les relations sociales ne sont pas son fort. Il a compris que la douleur était un frein, aussi s'est-il construit une carapace où il planque ses vrais sentiments pour ne laisser voir qu'une brute arrogante, orgueilleuse et ingrate.

 

♠ Classe : 1ere année a l'Élysion

 

♠ Capacité : Bouclier Ultime

 

♠ Il aime : les pommes, la viande, le sang, frapper pour se défouler, être craint, voyager...


â™  Il n'aime pas :  l'autorité, les légumes, les choses roses et mignonnes et sucrées, les gens, le monde entier...

 

♠ Passé :

 

Je raconte pas tous les jours ma vie alors soyez sage sinon je vous refais le design de votre tête, ok ? Bon...par où commencer ? Je suis né, ça y'a pas de doute. C'était en plein hiver parce que la neige était tellement abondante que ma génitrice n'avait même pas pu quitter sa richissime demeure campagnarde, une maison de vacances perdue dans la plaine Sibérienne. Oui, car ceux qui m'ont fait venir au monde étaient et Russes et milliardaires a ne plus savoir que foutre de leur blé. Le jour même de ma naissance, ma génitrice m'enroula dans un drap et me jeta par la fenêtre sans plus de cérémonie. Les enfants n'étaient pas dans le programme oisif et paresseux de mes géniteurs. Alors c'est la neige qui m'a prit dans ses bras gelé et si le monde avait été juste, c'est la que je serai mort, point. Au lieu de cela‚ un domestique vit ma génitrice faire et se précipita a mon secours, nageant comme un perdu dans le bon mètre soixante de neige qui recouvrait tout. Il me cacha et me permit de vivre encore. Au bout de deux semaines, les risques d'être découvert étant trop grands, il me fit partir avec le premier camion de passage sur la route paumée au milieu de nulle part. On me déposa dans une église où l'on me plaça dans un orphelinat Sibérien. Les rumeurs sur mes origines faisaient de bons ragots dans la région, aussi avais-je le droit a encore moins d'amour que les autres orphelins qui eux n'avaient pas de sang noble et riche pour les sauver un jour. On me baptisa "Elliot" mais très vite on m'appela "Hell" car je menais une vie infernale a tout mon entourage.

 

 

Personne ne m'adoptait et je ne m'attachais a personne. Les années passaient et ma haine contre le monde grandit au point de faire naitre en moi l'amour de la violence. Je me protégeais de tous ces gens qui ne m'acceptaient pas et leur faisais peur pour gagner leur respect. A mes 10ans, on me mit a la porte avec un soulagement non dissimulé. Je gagnais la première ville et survivais grâce au vol et a la violence. Et puis un jour, en pleine rue, une camionnette s'est arrêtée a ma hauteur, deux individus cagoulés sont descendus et m'ont emmené de force. Par la suite, tout est flou. J'étais retenu dans une cave froide et sombre, on ne me nourrissait qu'une fois tous les trois jours avec de la viande crue faisandée. Et les scientifiques s'amusaient. Un morceau de corps en moins. Je t'en rajoute un autre. Je déplace celui-ci. J'échange ces deux-là... La drogue ne me faisait pas grand effet alors je pris sur moi pour encaisser les traumatismes. Cette carapace que j'avais déjà commencer a construire autour de mon âme et de mon cœur finit par devenir une forteresse inviolable et indestructible.

 

 

Combien d'hommes ai-je tué ? Pourtant je ne retrouvais toujours pas la liberté. J'avais désormais une longue queue dans le dos, des oreilles animales, des yeux de chat, des crocs et des griffes acérés et un dégoût pour la race humaine sans fin. Et puis ce fut le néant. Plus d'hommes en blouses blanches. Plus de piqûres. Plus de cachets. Plus de nourriture. Je me sentais mourir alors que les jours passaient mais étrangement, j'étais heureux que tout cela cesse définitivement. Mais la joie ne m'est pas permise. Un type des plus bizarres, vêtu de sombre avec un chapeau haut de forme noir cousu d'un voile qui masquait son visage, débarqua comme une rock star sur scène en se pavanant et en gueulant qu'il était là pour moi. Que ma place serait désormais dans son école au nom chelou car, bien que je ne sois pas riche, mon don l'intéressait fortement. Allons donc...c'est quoi encore toutes ces conneries ?

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