{ RP } Élysion's High School
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RP BONUS 1 :
Shaiyenne & Zéro (3)
<~ Précédente (2)
Shaiyenne : * Shaiyenne écouta le professeur tout en mangeant son sandwich. Elle contemplait le paysage jusqu'à ce que l'évocation de Monsieur le Directeur la froisse. *
- Monsieur le Directeur... Ingrat et indélicat comme on n'en trouve plus, est à cheval sur son règlement anti-social..! Cela ne m'étonne même pas de lui...
* Elle se renfrogna légèrement, repensant a la première fois où elle l'avait vu avec Sacha, pour son inscription 'spéciale' pour l'école... Elle se tourna vers le professeur. *
- Merci à vous de rendre ma première journée plus supportable.
* Elle se stoppa en voyant les larmes briller dans ses yeux. *
- Qu'est ce qui se passe ? J'ai dis quelque chose qu'il ne fallait pas ?
* Elle se sentit d'un coup coupable. Elle avait peu être été encore trop franche, comme à son habitude... Elle se retourna sur son sandwich, le fixant quelques instants, puis son regard dériva sur les galets qui se trouvaient au bord du lac. Elle les fixa avec intensité. Ceux ci se soulevèrent en apesanteur et d'un geste du doigt, elle les fit entammer un ballet au dessus du lac. La jeune fille se mit a sourire. Et elle fit prendre aux galets la forme d'un visage qui souriait. *
- La vie est trop courte pour se morfondre monsieur. Il faut vivre le présent, en faisant en sorte que le passé ne vous rattrape pas. Courez aussi vite que vous pouvez, et ne jamais se retourner.
* Elle laissa les galets retomber doucement. Et se tourna vers le prof en souriant. *
***
Prof Infinitae : * Je fus surpris quand à sa réaction vis-à -vis du Directeur. Je voulais prendre sa défense, car malgré tout, cet homme avait quand même révolutionné la vie de milliers de jeunes inhumains pour les aider à avoir une éducation et un avenir... mais je la laissais parler et eus un choc en entendant qu'elle aussi me remerciait. Cette fille allait finir par se faire des idées à mon sujet...que faire ? Eh merde, en plus la voilà qui remarque mon état... Je ne sais plus quoi dire, je sais que de toute façon, la moindre de mes paroles l'induira en erreur... c'est bien la première fois que je regrette d'être si bon séducteur ! Je me perdais dans la contemplation de ces galets qu'elle s'amusait à faire voltiger... *
- Ne vous en faites pas, mademoiselle Treize, je ne vis pas dans le passé. Simplement, j'ai quitté cette école depuis des années et je me rends compte aujourd'hui que ce lieu m'avait manqué... La vie était si simple ici... C'est étrange que rien n'ait changé à part moi...
* Je riais en me tournant vers elle. Nos regards se croisèrent et je ne sus plus quoi dire *
***
Shaiyenne : * Elle sentit la gêne du prof, ce qui la fit rire. Elle l'écoutait attentivement. Elle n'arrivait pas réellement à comprendre que le fait d'être ici pouvait manquer. Quel est le bonheur à rester enfermé ? Elle tenta de comprendre, mais rien n'y fit. Elle haussa les épaules dans sa réflexion. C'est loin d'être simple ici, vivre les uns sur les autres, enfermés comme des oiseaux en cage... Bon d'accord, il y a la relation humaine entre les personnes, mais a quoi bon ? On n'est jamais mieux servi que par soi même non ?
Elle le fixa sans comprendre. *
- Je suis désolée, mais je ne vois pas ce que vous pouvez trouver de bien dans cet établissement. Mis a part de perfectionner les dons incontrôlables, je ne trouve pas autre chose. Il est vrai qu'il y a plus de libertés que...
* Elle se stoppa. Et hésita un instant. *
- Enfin bref, chacun voit midi à sa porte comme on dit, hein !
* La gêne du professeur la gêna à son tour, elle ne savait plus trop quoi faire. Elle le fixa droit dans les yeux et tenta de faire une percée. *
- J'ai dis ou fait quelque chose de mal ? Car je sens une gêne et je n'utiliserais pas mes pouvoirs pour savoir le fin mot de l'histoire. Mais si quoi que ce soit vous a embarrassé, dites le moi. Je m'en excuse d'avance. Je ne veux pas vous ennuyer....
* Elle se tourna et fixa le lac, balançant ses jambes dans le vide. Et son regard s'assombrit quand celui ci croisa son tatouage du chiffre treize et zéro sur son avant bras droit. Elle se perdit dans ses pensées. Pourquoi avait elle accepté de venir ici? A quoi bon ! personne ne la comprendrait.... Même pas le Directeur, lui même n'a rien compris ! Elle rentra en rage intérieure, ce qui réchauffa l'atmosphère autour d'elle. Quel crétin ! *
***
Prof Infinitae : * Je sentais dans sa voix une forme de haine et de colère... Oui, cela arrivait souvent au début. On mène sa petite vie tranquille, dans son coin, sans véritable avenir devant soi ni but à poursuivre...et c'est là que l'homme en noir au visage caché vient nous trouver et crée comme un séisme dans le train-train quotidien. Beaucoup le ressentent comme un emprisonnement, pourtant ils ne voient pas encore que c'est la délivrance qu'on leur offre. Nous nous regardions depuis un moment sans rien dire quand elle finit par parler .*
- Mademoiselle Treize, je vous demande d'arrêter de faire cela.
* Elle se retourna vers moi, surprise. J'avais regagné son attention et calmé quelque peu sa colère qui se ressentait dans l'air ambiant. *
- Ce que vous dîtes n'a rien de bien ou de mal, c'est votre façon de penser et si vous l'exprimez clairement sans détour, c'est votre droit ! Je préfère que nous soyons honnêtes l'un envers l'autre. Vous ne m'embarrassez pas du tout, c'est moi-même qui m'embarrasse tout seul ! Je ne veux pas que vous pensiez de moi que je reste avec vous pour profiter ou abuser de vous... je ne vous veux aucun mal, vraiment ! Vous ne m'ennuyez pas une seule seconde, au contraire ! J'ai beaucoup de plaisir à parler avec vous. Il est clair que vous êtes une jeune femme avec de l'esprit et du coeur, seulement vous portez un fardeau bien trop lourd sur vos jeunes épaules ! Et cela, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous aider à l'alléger !! Parce que je suis comme ça, c'est plus fort que moi ! Je ne supporte pas de voir quelqu'un souffrir, c'est au-dessus de mes forces ! Alors s'il vous plaît...
* Je pris son bras dans mes mains et mon regard tomba alors sur ce tatouage qu'elle regardait un peu plus tôt : le chiffre 13 encerclé. Je passais le bout de mes doigts dessus, sans finir ma phrase. Puis, je murmurais...*
- Ne vous sous-estimez jamais, sinon le monde entier se permettra de le faire... et ne sous-estimez pas les bienfaits de l'Élysion... Je sais qu'il est encore trop tôt pour que vous vous en rendiez compte, mais cette école c'est une chance pour nous, inhumains, de pouvoir évoluer et apporter quelque chose à ce monde qui, de base, ne veut pas de nous comme des êtres libres.... Donnez-vous une chance et donnez-en une à l'Élysion...
* C'est alors que je suis interrompu par John, mon homme-a-tout-faire, un démon loyal qui ne fait pas dans la dentelle. " Monsieur Zéro, le Directeur m'envoie vous chercher. Il vous rappelle qu'il vous attend dans son bureau. De plus, il souligne qu'exceptionnellement ce soir, le couvre-feu est avancé à 21h. Donc Mademoiselle Treize doit rejoindre son dortoir immédiatement si elle veut échapper à une sanction exemplaire. Ordres de Monsieur le Directeur.". Je relâchais le bras de Shaiyenne en rougissant d'avoir été pris sur le fait. Puis je soupirais, agacé que le Directeur se prenne pour mon père.*
- Merci, John. Je vais accompagner mademoiselle Treize à son dortoir afin de m'assurer qu'elle arrive à bon port. Ensuite j'irai voir le Directeur, j'ai encore un peu de temps avant le début des cours... Vous pouvez prendre votre soirée. Ah, et si vous pouviez rappeler Jean-Baptiste, demain matin... Sa cuisine me manque, j'aimerais qu'il vienne au moins deux fois par semaine. Je paierai ses déplacements et autres frais. Bonne nuit, John.
* Il s'inclina et disparut sans un bruit. Je finissais mon sandwich, frappait dans mes mains pour faire tomber les miettes et sautais gracieusement pour retomber sur le sol. *
- Navré de devoir écourter notre soirée, le devoir m'appelle. Venez, je vous montre le chemin.
***
Shaiyenne : * Quand il lui demanda de stopper, Shaiyenne se tourna vers lui et le fixa. Elle l'écoutait gentiment et se bloqua sur certaines phrases comme ''profiter ou abuser de vous''... qu'est ce qu'il entendait par la ? Puis il remît sur le tapis l'histoire de son passé... Il attrapa son bras, ce qui fit sursauter la jeune fille. Et il passa son doigt sur son tatouage portant son chiffre. Elle repensa à ces années d'enfermement et en frissonna. Il repartit dans une litanie pour lui redonner confiance, ce qui la fit sourire. Quand soudain un homme apparaît, ce qui permit à Shaiyenne de se perdre dans ses pensées quelques instants, ne faisant plus trop attention a la discussion entre les deux hommes. Quand elle revint à ses esprits, le professeur était au sol entrain de lui demander de venir. Elle se souleva en apesanteur et le fixa. *
- Êtes-vous vraiment sûr de vouloir connaître la vérité sur mon fardeau ?
* Dit-elle en faisant des guillemets avec ses doigts. *
-Ce que je veux dire, c'est : êtes vous sûr de supporter les choses de mon passé sans me voir comme une victime à plaindre ou vous apitoyer sur son sort ?!
* Elle se posa sur le sol, et sans même attendre sa réponse, elle se posta face à lui et lui prit la main. Elle se concentra sur son passé et lui renvoyait les images. Tout commençait par l'assassinat de ses parents sous ses yeux d'enfant démon terrorisé, son incarcération dans une cellule de quelques mètres carré seulement, avec pour seul meuble des toilettes. Les sévices multiples qu'elle subit pendant des années, sans rien dire, sans leur donner la satisfaction de sa douleur à ses geôliers. Les multiples injections de produits qui lui faisaient un mal de chien pendant des jours, voire des semaines et les coups sans relâche malgré son état. Ce sentiment d'habitude après des années et des années de maltraitances et de séquestration. Et du jour au lendemain, sa libération, et son retour à une vraie vie. Mais des pouvoirs décuplés, surtout son côté télépathe qui lui faisait mener une vie d'enfer avec les pensées des autres. Elle relâcha sa main et le regarda droit dans les yeux, les yeux de Shaiyenne avaient pris une teinte violacé foncé. *
- Voilà ma vie.
* Elle se recula et regarda dans une direction opposée et d'une voix froide, comme au début, elle reprit. *
-Maintenant j'espère que votre regard ne changera pas, pas comme celui de ce pauvre Directeur. C'est ma vie, mon passé et je vie avec ! C'est mes pouvoirs qui me tracassent et jouent avec mes nerfs. Je ne gère que le don donné par ma mère, la télékinésie, c'est tout! Pas celui de mon père...
* Elle se tourna vers lui et lui fit signe de la tête. *
-Bon, allons-y ou vous allez avoir des soucis. Et comme vous dites, "le devoir vous appelle".
***
Prof Infinitae : * En état de choc après avoir vu ces souvenirs horribles et inqualifiables, je me mis en marche sans un mot, le regard dans le vide et la mort dans l'âme. Je la dépassais et ne me retournais même pas pour vérifier qu'elle me suivait. J'étais passé en mode "pilote automatique", mon cerveau était débranché momentanément... Ces visions se repassaient en boucles dans ma tête, c'était affreux, une torture, une injustice sans nom... mon coeur allait imploser. Alors, pas très loin des escaliers de la tour des dortoirs des filles, je m'arrêtais et me tournais vers elle. *
- Shaiyenne, je...
* Mais je ne savais pas quoi lui dire. Alors je fis la seule chose qui me vint à l'esprit : je la pris dans mes bras et la serra contre ma poitrine. Enfin, je pus trouver mes mots que je lui chuchotais en enfouissant mon nez dans ses cheveux blonds.*
- Merci de m'avoir montré la vérité. A mes yeux tu n'es pas une victime a plaindre ou à prendre en pitié. Tu es une fille que l'on doit admirer pour sa force et son courage. Une fille qui n'a pas connu de départ heureux dans la vie, mais qui malgré tout est encore debout pour se battre et s'en sortir. Ceux qui t'ont fait ça méritent tout le mal du monde et une fin tragique...bien qu'une fin les empêcherait de payer jusqu'au bout le prix de leurs crimes... Je pourrais tout mettre en oeuvre pour retrouver chacun d'entre eux et leur faire payer moi-même. Non pas pour te venger ni te soulager, mais pour te rendre justice. Je sais que tu t'es toujours débrouillée toute seule, mais désormais tu n'as plus à le faire. Tu ne seras plus seule. Ici, on t'aidera à dompter ton don, à ne plus en souffrir et à en tirer profit comme toi tu l'entends. Tu te feras des amis et des souvenirs joyeux qui te resteront et effaceront un peu la noirceur des anciens... Et je serai là , pour toi, à chaque fois que tu en auras besoin. Je serai là ....
***
Shaiyenne : * Elle marchait tranquillement, en regrettant légèrement son geste, sentant l'état choqué du professeur. Elle le vit la dépasser à toute vitesse, elle le suivit sans un mot, le remord lui dévorant l'estomac. Elle aurait peut être dû y aller plus soft... Mais son côté impulsif et colérique avait pris le dessus. Arrivée vers les dortoirs qu'elle reconnut, elle s'avança quand soudain le prof fit volte face et essaya de dire quelque chose mais en vain. Encore plus surprenant, il l'enlaça et lui dit des mots qui lui remirent du baume au cœur. Elle le laissa parler, buvant chacune de ses paroles, réchauffée pas sa gentillesse qui la fit sourire. Elle finit par reculer la tête, une fois son discours terminé et le regarda. *
- La réelle vérité, ce n'est pas ce passé qui me hante, c'est celui qui m'a sorti de la. C'était le sujet Zéro, d'où mon tatouage... et moi le sujet treize. D'où mon nom, suggéré par monsieur le Directeur... Bref... Le sujet Zéro.. C'est lui qui m'a sorti de là , et je l'ai laissé pour mort la bas... en réalité je ne sais pas s'il l'était réellement ou non... S'en est-il sorti..? Est-il libre ou de nouveau séquestré ? je n'en sais rien... Je n'ai pensé qu'à moi... j'ai fuis...
* Son regard se perdit dans le vide quelques minutes, puis elle revint à ses esprits. *
-Merci pour ce petit pique-nique et ce moment agréable en cette rentrée pas très facile pour moi, je dois l'admettre. Ne vous mettez pas plus en retard...
* Elle lui sourit d'un sourire qu'il y avait plus de sincère et inclina la tête en signe de remerciement. *
-Et encore merci pour vos belles paroles. Elles me vont droit au cœur. Soyez en sûr.
***
Prof Infinitae : * J'écoutais ses paroles tout en la regardant droit dans les yeux. Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Pourquoi cette jeune fille me met dans un tel état ? Au point de la tutoyer alors que c'était une chose que je m'étais interdit de faire ? *
- Le plaisir est partagé. Et je suis sincère. Ne vous tourmentez plus pour ce soir. Allez vous reposer, vous aurez besoin d'un esprit frais et dispo pour vos cours de demain. Et au risque de faire une belle entorse au règlement, permettez-moi d'outre-passer mes droits en vous demandant de bien vouloir choisir l'option Arts quand votre professeur vous le demandera... J'aurais grand plaisir à vous revoir, mais de manière officielle cette fois afin que l'on ne puisse rien me reprocher... les gens sont parano, on ne peut plus s'accorder de temps libre avec une étudiante sans que cela ne réveille les soupçons et les jugements hâtifs...
* La voyant sourire sincèrement, je lui rendis son sourire et laissais mon doigt caresser sa joue. *
- Voilà une expression qui vous va mieux. Bonne nuit, Shaiyenne. Et si vos soucis vous tourmentent, vous n'aurez qu'à lire le recueil que je vous ai conseillé.
***
Shaiyenne : * En réponse, elle lui montra le livre en question qu'elle n'avait pratiquement pas lâché de la soirée. En commençant à monter les marche à l'envers, elle regarda le prof et lui lança joyeusement...*
-Vous croyez vraiment que je n'allais pas prendre Arts ? Vous avez vu mes bras... Et pas que! Disons que c'est un autre passe temps que j'apprécie beaucoup! ... Bonne soirée et bonne nuit Monsieur. Et à très vite !
* Elle sourit tout en s'éloignant et finit par regagner son étage et sa chambre. Par chance, elle ne partageait pas encore sa chambre avec quelqu'un, celle-ci était donc seule pour le moment. Combien de temps encore, elle ne le savait pas, mais en attendant, elle comptait bien en profiter. Elle se jeta sur son lit et commença à lire le recueil de poèmes. *
***
Prof Infinitae : * Je regardais la demoiselle partir, heureux de la voir sourire et de sentir sa joie. Sans parler que cela me fit un immense plaisir de savoir qu'elle comptait venir à mes cours. *
** Ressaisis-toi, crétin ! Et arrête de t'emballer comme ça, c'est une élève ! Et toi, tu...**
* Je suis interrompu dans mes pensées par l'arrivée soudaine du Directeur. Ce mec compte-t-il me provoquer un arrêt cardiaque ?
"Je crois devoir vous rappeler qu'à présent vous êtes un professeur, Zéro... Si vous voulez que cela dure, vous devez respecter certaines conditions...Ce privilège n'est pas illimité. Vu votre réputation et votre nature de coureur de jupons, je vous demanderai de ne plus jamais vous retrouver seul avec un ou une élève. Même pendant les cours, assurez-vous d'être en compagnie de plusieurs personnes ou je vous renvoie sans procès. Et faites en sorte de respecter mes ordres à l'avenir, ou je devrais sévir et vous n'aimerez pas ça..." *
- Oui, Monsieur. Pour ma défense, je tiens à dire que mes intentions envers mademoiselle Treize n'avaient rien qui ne dépasse une relation professeur-élève, et je pense que cela lui a fait du bien de se confier à moi...
* "Je ne vous ai pas embauché pour jouer les psychologues... Tenez-vous en a votre rôle. Voici les documents que j'attends de vous remettre depuis plusieurs heures. Sur ce, rendez-vous dès a présent dans votre classe, les cours de nuit vont bientôt démarrer. Ne me décevez plus, Zéro !" *
- Bien, Monsieur.
* Sans plus discuter, je pris le chemin de ma salle de classe. Cela me faisait bizarre de recevoir des ordres, mais je connaissais l'enjeu, alors inutile de lutter. Mais une chose est sûre : je n'oublierai pas cette soirée de si tôt...*
*** FIN ***